Verbiage

Je suis, face à mon blog et mon ordinateur, capable de tout. Je peux tout écrire, tout dire, tout raconter, tout dévoiler, tout décrire, tout blâmer, tout pleurer, tout louer.
Et pourtant parfois rien ne vient. Avons nous si peu de choses à dire sous nous mêmes et les autres ? Je n'ai pas la plume incontinente mais quand même ! Me voilà à hésiter entre deux articles sur la Démiurgie et un autre sur l'Originalité. Ecrire par désoeuvrement, c'est parfois touchant et intime, mais c'est aussi parfois laborieux et harassant.
Alors je raconte les mésaventures de mon cerveau récalcitrant à la création naturelle et volubile de volutes verbales voluptueuses. Non, le volume ne vaut pas la qualité, mais quand aucun des deux ne vient, rien ne va.
Cet article n'intéressera que mes die-hard fans, que je n'ai pas (encore), mais il aura le mérite de...être.
5 Comments:
Par solidarité de vacuité littéraire blogaire et passagère, je veux bien être un die-hard fan.
Mais juste pour ce post.
Moi j'hésite
Hum j'hésite à me déclarer comme tel.
Il me semble que tu commences déjà à te répéter quelque peu, non?
Bon, on pardonnera au bogoss' que tu es en tout cas.
Je me répète dans mon autocritique, mon égocentrisme sentimental et mes formules presques chocs. En revanche au niveau des thêmes, à part la mélancolie, ce n'est pas encore l'eternel retour héhé.
Nico, poste pas en anonyme j'te dis.
Ok,j'utiliserai le pseudo U.N. Owen à partir de la prochaine fois, cela te convient?
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